Tag: Conseils

  • 266 — Macro Word pour la bétalecture et la correction

    Je suis un paresseux et je n’aime pas utiliser beaucoup d’énergie et de clics de souris pour arriver à mes fins, alors j’essaie de me faciliter la vie. J’avais déjà pu vous expliquer comment j’essayais d’accélérer ma vitesse de frappe et de sauvegarder ma concentration dans mon article 064 – Configuration de l’autocorrection & 067 – Les raccourcis vitaux pour naviguer dans le texte.

    Aujourd’hui, je reviens avec un cadeau (oui, rien que ça) pour toutes celles et tous ceux qui corrigent des textes (les leurs et ceux des autres) : un système de gestion du type de corrections à apporter !

    (more…)

  • 064 – Configuration de l’autocorrection

    Suite à la demande de Magalie sur mon article 059 – De la fluidité de frappe pour garder sa concentration, voici comment configurer l’auto-correcteur sur MS Word, suivant la version.

    Je n’ai pas pu faire le tuto pour Open Office parce que l’installation n’a jamais voulu se lancer (j’ai quelques problèmes avec mon Seven qui pourtant est tout à fait légal…) mais si vous regardez comment ça marche sous Word, ça doit pas être trop différent.

    Word 2003

    Menu 'Outils' > 'Options de Correction Automatique'

    Menu ‘Options‘ > ‘Options de Correction automatique

    word2003_002Dans l’onglet ‘Correction automatique‘, sous partie ‘Correction en cours de frappe‘ (qui doit être coché)…

    word2003_003

    Dans la case ‘Remplacer‘, entrez le mot que vous tapez mal ou le raccourcis clavier. Dans ‘Par‘, le résultat. Exemple ici : je remplace ‘mm’ par ‘même’

    Cliquez sur ‘Ajouter‘.

    word2003_004Le couple ‘Remplacer/Par’ vient de s’ajouter dans la liste.

    word2003_005

    Recommencez l’opération autant de fois que vous avez de raccourcis à créer.

    Cliquez sur ‘Ok‘ (parce qu’à priori, ‘Fermer’ ne prend pas en compte ce qu’on vient de faire’)

    Word 2007/2010

    word2010_001Cliquez sur ‘Fichier‘ > ‘Options‘ ou le gros bouton moche > ‘Options‘ pour 2007

    word2010_002Allez dans la partie ‘Vérification‘ à gauche, puis cliquez le bouton ‘Options de correction automatique‘ à droite.

    word2010_003

    Dans la case ‘Remplacer’, entrez le mot que vous tapez mal ou le raccourcis clavier. Dans ‘Par’, le résultat. Exemple ici : je remplace ‘mm’ par ‘même’

    Cliquez sur ‘Ajouter‘.

    Dans l’onglet ‘Correction automatique‘, sous partie ‘Correction en cours de frappe‘ (qui doit être coché)…

    Le couple ‘Remplacer/Par’ vient de s’ajouter dans la liste.

    Recommencez l’opération autant de fois que vous avez de raccourcis à créer.

    Cliquez sur ‘Ok‘.

    Amusez-vous bien ! 🙂

  • 059 – De la fluidité de frappe pour garder sa concentration

    Qu’y a-t-il de plus désagréable, quand vous êtes lancé à taper un texte, qu’il soit de fiction ou non, que de devoir vous arrêter à cause d’une faute qui vient d’apparaître — si comme moi, vous ne pouvez pas continuer sans la corriger —, ou parce que vos doigts, mal synchronisés, viennent de ripper sur un mot, un mot tout bête, que vous écrivez au moins quinze fois par page mais, qu’à chaque fois pourtant, vous écorchez ?

    Pour moi, il n’y a pas grand-chose de plus désagréable.

    Lors de l’écriture, butter sur un mot fait facilement perdre le fil de ses pensées comme, en lecture, butter sur un mot trop compliqué ou une tournure de phrase étrange fait perdre la concentration du lecteur. Et je pense que dans un cas comme dans l’autre, c’est un petit échec pour l’auteur (pas du même niveau, certes, mais quand même).

    Où vitesse ne signifie pas précipitation

    Beaucoup d’auteurs pensent que le word count est le but ultime. Durant les nombreuses Word Wars que j’ai pu faire avec les autres Nanoteurs sur le chan IRC, le jeu est d’écrire le plus de mot possible dans une durée très limitée. Évidemment la vitesse de frappe entre en jeu et est un point important pour le résultat mais elle n’est pas tout.

    Des fois, il est préférable de taper lentement mais avec une bonne fluidité plutôt que de taper très vite mais de devoir s’arrêter toutes les phrases, voire plus souvent, pour devoir corriger quelque chose ou réfléchir à ce qu’on va écrire ensuite (mais ça, ce n’est pas le sujet de ce billet).

    La concentration, si importante pour la fluidité du débit des mots, est donc la chose à essayer de garder un maximum quand vous êtes lancé parce que s’arrêter, pour une raison ou une autre, signifie de longues secondes (minutes, plus(?)) de perte puis de reprise de cette si précieuse concentration et donc une vitesse moyenne de frappe qui tombe vertigineusement.

    Fluidité

    « Mais comment arriver à garder cette fluidité ? » me demanderez-vous (ou pas). Évidemment, savoir taper avec les dix doigts (au moins huit) sans regarder le clavier est un minimum. Un bon clavier est pour moi très important, je l’expliquais là. Mais il y a des choses contre lesquels mes années d’alignements de caractères sur Word n’ont jamais pu lutter : les emmêlements de doigts. Mais si, vous savez, le genre de truc qui donne ça comme résultat « li étiat uen fosi » et aussi, les fautes à répétitions parce que mon cerveau n’arrivera jamais à apprendre que « métallique » prend 2 « L » et comment s’écrit « accélération » correctement.

    Ma solution à ces problèmes : l’auto-correcteur de Word. Voilà.

    C’est tout.

    Ça a l’air tout con comme réponse, mais c’est un outil très puissant qui est sous-estimé, voire méconnu. Il n’est pas là que pour mettre les majuscules automatiquement en début de phrases ou appliquer des puces indésirables quand vous avez commencé une ligne par un tiret (c’est mal !). Non, non.

    Pour ma part, je m’en sers pour 3 raisons un peu différentes :

    • me permettre de corriger des fautes redondantes, comme métallique ou accélération,
    • pour atteindre des signes typographiques très chiants à atteindre habituellement sur un clavier Windows, comme les majuscules accentuées ou avec cédille (Ç, À, É, etc.), ou les cadratins ( « — », trop souvent confondus avec le tiret simple « – »),
    • pour me simplifier la vie en créant des raccourcis pour les mots un peu chiants à taper, en général ceux avec des tirets ou des accents circonflexes (exemple typique : peut-être) ou parce que je n’ai pas envie d’avoir à taper le nom complet de mes personnages.

    Il m’aura fallu prendre l’habitude d’utiliser ces raccourcis mais ça s’est fait très rapidement finalement  et ça me facilite grandement la vie, maintenant. Surtout, ça m’évite de perdre le fil de ce que je suis en train de raconter.

    Exemple de raccourcis magiques :

    Raccourcis

    Mots corrigés

    ^tre, etre être
    Pe^ Peut-être
    Plut^t, plutôt, tot Plutôt, tôt,
    m^ , mm même
    qq, qqun, qqs, qquns, qqchose, etc. Quelque, quelqu’un, quelques, quelques-uns, quelque chose, etc.
    cci, clci, cx Celui-ci, celle-ci, ceux
    lmm, elmm Lui-même, elle-même
    çç, àà, éé, èè Ç, À, É, È
    —  (là, j’ai directement ajouté l’espace insécable qui va avec le cadratin, au moins c’est fait)
    Cam Camille (le nom de mon héroïne)

    L’auto-correcteur, c’est le bien.

    Si la vitesse de frappe apporte une facilité pour suivre son fil de pensées, la capacité à ne pas s’arrêter sur des phrases ou des mots, à ne pas les corriger en temps réel, ainsi que les raccourcis pour éviter les « mots-pièges » sont un atout réel pour la qualité d’écriture puisque ça garantie une certaine sérénité pour ne  penser qu’à l’essentiel.

  • 044 – De la difficulté du marathon scriptural

    Depuis le mois de juillet, je me suis lancé dans un marathon de nouvelles (très voire ultra courtes) au rythme d’une par jour. Je voulais essayer d’écrire sur des thèmes différents, dans des styles différents, pouvoir faire ce qu’un roman ne permet pas à cause du travail à long terme que ça représente.

    Neil Jomunsi, auteur notamment de la série des « Jésus contre Hitler », s’est lancé pour sa part dans un marathon d’autant plus courageux : le projet Bradbury, consistant à écrire et publier (avec tout le travail éditorial que cela représente) une nouvelle par semaine pendant un an, soit pour les mauvais en maths, 52 nouvelles. (plus de détails par là)

    Ce matin, sur Twitter, Neil a lancé 3 tweets qui me renvoient un peu à mon projet et m’ont poussé à quelques réflexions sur ce genre de folies que sont les marathons d’écritures.


    @NeilJomunsi : « A peine terminé la nouvelle de la semaine qu'il faut réfléchir à ce que j'écrirai lundi. Je commence à comprendre ce que sera mon quotidien. »

    Se lancer dans un marathon, c’est d’abord de l’organisation.

    En effet, ça peut paraitre évident, mais se lancer dans un projet comme ça, demande d’être capable d’y allouer un temps certain par jour. TOUS LES JOURS.

    Dans mon cas, j’écris une nouvelle par jour, c’est donc clair, je dois être capable de prendre le temps, entre le boulot et la vie de famille (et le sommeil aussi, c’est important). J’ai aussi décidé d’écrire des nouvelles très courtes (maximum 5 pages A4, mais finalement rarement plus de 2), de ne pas faire un travail éditorial de peaufinage pour leur publication sur le blog. J’envoie des textes mal dégrossis et absolument pas exempt de fautes, mais la finalité de mon marathon est surtout de visiter des styles et des narrations différentes.

    Dans le cas de Neil, qui livre des nouvelles finies (corrigées et complètement « pro ») et beaucoup plus longues que les miennes , cela demande beaucoup de temps et une organisation bien rodée, comme il l’explique sur son site dans l’article Tenir le rythme :

    Voilà donc comment se répartit, pour moi, la semaine :

    • LUNDI : écriture du premier jet, en général de 9:30 à midi puis de 14:00 à… jusqu’à ce que je m’écroule.
    • MARDI : si le premier jet n’est pas terminé, je continue sur la même base horaire. S’il est terminé, j’entame une première relecture sur le texte écrit la semaine précédente : je décale d’une semaine, histoire d’avoir un regard plus frais. Toutefois, il s’agit de garder le même esprit que celui dans lequel il a été écrit. je préconise donc de ne pas laisser trop de temps passer entre deux relectures. La première réécriture est selon moi la plus difficile. Elle me colle un mal de crâne à coup sûr, et ça prend un temps fou.
    • MERCREDI : une fois le premier jet relu et corrigé sur ordinateur, j’imprime le texte et je l’annote au stylo rouge . Dernières coquilles, répétitions, tournures de phrases : en général les pages se couvrent assez vite de rouge. C’est un processus au moins aussi difficile que la première relecture, mais sans le mal de tête. L’effet papier? Pas forcément, même si c’est plus agréable de se relire sur une feuille que sur un écran. Peut-être juste qu’on commence à se détacher.
    • JEUDI : Après avoir corrigé le texte informatique avec toutes mes annotations, je le réimprime (au verso de la première version) et je le RE-corrige/annote avec un stylo bleu, cette fois, histoire de ne pas me planter de côté de la feuille. Cette fois-ci, il y a moins de travail. Je corrige des tournures de phrase principalement, et je simplifie ce qui peut l’être. J’élimine les mots / phrases inutiles. Il y en a beaucoup et ça plombe plus souvent le rythme que ça n’embellit le style.
    • VENDREDI: Je fais une pause, je sors dans le jardin et je m’allonge dans l’herbe pour regarder les oiseaux. Non, je plaisante bien sûr. Je RELIS encore le texte, sur l’écran, et j’effectue des micro-corrections après avoir rentrées celles de la veille. Je conserve chaque version du texte dans un dossier distinct.
    • SAMEDI: C’est prêt !

    On voit bien qu’il a prévu de travailler tous les jours et de ne s’octroyer qu’un petit jour de repos (ou de vie sociale, je ne sais pas ^^).

    Je trouve qu’en plus son projet est bien plus difficile à gérer que le mien parce que, quand moi je termine une nouvelle, je la publie et je l’oublie, Neil, lui, doit travailler sur au moins deux nouvelles en même temps, tout en pensant à ce que va être la prochaine.

    C’est là que moi je triche, parce que je demande à mes amis de me fournir des phrases à partir desquelles je vais partir et essayer de créer un univers. Cela dit, ça a aussi son lot de difficultés, parce que des fois, ils m’en refilent des biens gratinées.


    @NeilJomunsi : « Je me rends compte aussi que les histoires sur lesquelles je travaille sont plutôt tristes jusque là. Donc lundi, comédie. #projetBradbury »

    Les histoires courtes préfèrent les fins tristes

    Étrangement, je me suis rendu compte que j’avais une tendance à faire des fins triste. Je ne sais pas si c’est une généralité ou juste un point commun entre Neil et moi, mais je dois me forcer pour faire des fins heureuses ou drôles dans les nouvelles. Alors que finalement, dans mes histoires plus longues, les fins sont moins tragiques.


     ‏@NeilJomunsi : « Mais je mesure seulement maintenant le côté marathon. Ça va être une année hautement enrichissante ET hautement sportive. »

    C’est au pied du mur qu’on voit le mieux le mur

    Pour reprendre le faux proverbe de Bigard, il est vrai qu’on ne prend la mesure de l’ampleur du travail qu’une fois qu’on s’est lancé. C’est le côté sportif. Avant, on imagine ce que ça peut être, on a une vague idée, mais une fois qu’on est parti dans le défi, on se rend compte que c’est bien plus difficile à tenir qu’on pouvait le penser, tout en gardant un niveau de qualité correct. Un peu comme faire des gosses quoi 🙂

    Pour le côté enrichissant, quand on  fait autant d’efforts pour tenir le rythme, tenir la qualité, essayer de faire des choses différentes, forcément on s’améliore.


    Donc comme pour un vrai marathon, il ne faut pas se lancer dans un projet à long terme avec un rythme soutenu :

    • sans préparation,
    • sans organisation,
    • sans un bon grain de folie,

    mais ça reste une très bonne expérience en tant qu’auteur.

    Le dernier avantage que je vois dans des marathons à sorties régulières, c’est que l’auteur reçoit des retours des lecteurs de façon plus régulières. (ce qui en bonus, permet de ne pas sombrer trop rapidement dans la dépression de l’auteur ^^)

  • 002 – NaNoWriMo Fini ou presque

    Le mois de novembre est effectivement bien terminé. Depuis 5 jours diront certains rabat-joies ou comptables (ou les deux). Et si j’ai délaissé le blog, fraîchement ouvert, c’est parce que j’ai participé au NaNoWriMo, ce concours où la seule chose à gagner c’est la fierté d’avoir réussi à écrire au moins 50.000 mots en 30 jours. Et j’ai gagné. avec presque 57.000 mots.

    Cet exercice est assez difficile et éprouvant. Plus qu’on ne peut l’imaginer au premier abord. Il aspire toute l’imagination, toutes les pensées, toute l’énergie disponible. Il faut avoir une femme aimante ET patiente qui sait que c’est important pour vous et que vous faites ça sérieusement.

    Les trucs pour y arriver

    Ils sont au nombre de 3 (en plus de la femme très aimante et patiente)

    Faire un plan

    L’année dernière, j’avais un plan carré du début à la fin. L’histoire finale avait eu certes quelques changements dus à l’inspiration du moment mais est resté dans le cadre du plan pour être très proche à la fin du plan d’origine.

    Cette année, je n’ai pas eu pris le temps de faire un plan complet et je suis parti avec peut-être un tiers de l’histoire planifiée et une vague idée de la fin et de certains moments forts. Finalement, à chaque fin de scènes un peu mouvementées, je me retrouvais bloqué, sans savoir où vraiment aller pour que l’histoire garde un bon rythme. Un bon plan bien planifié et ça aurait été moins compliqué.

    L’assiduité

    Comme dans un marathon, où s’arrêter rendra la reprise insupportable de douleur, pour le NaNo, il ne faut pas louper un jour d’écriture. Même si ce n’est que pour écrire 150 mots (parce qu’en-dessous ça frise la liste de courses, faut déconner non plus). L’important c’est d’écrire tous les jours sinon après, soit on est en avance et on se repose sur ses lauriers et on tombe dans le piège du lièvre et de la tortue (surtout du lièvre, là), soit on est en retard et on commence à se dire que ça sert plus à rien à ce point de retard. Il faut savoir que j’ai vu certaines et certains participants écrire près de 12.000 mots en 4 ou 5 jours (contre 1.667 mots théoriques) pour boucler l’évènement. C’est aussi parce qu’ils avaient derrière eux des gens pour les motiver.

    La communauté

    Même si le National Novel Writing Month est à l’origine un évènement créé par des Américains pour rester dans le pays, l’idée s’est très rapidement répandue partout dans le monde. Il y a donc une partie du forum consacrée à la France, où s’incruste quelques francophones de pays bilingues mais minoritaires sur leurs forums respectifs (Les Belges wallons et Les Canadiens québécois pour ne pas les citer). Le forum sert à se présenter, raconter un peu tout et n’importe quoi et surtout organiser les rencontres dans le monde réel avec les différents rendez-vous qui existent (la Kick-off pour faire le départ en groupe, les write-in pour se rencontrer et écrire ensemble et la TGIO (thanks God, It’s Over = Dieu merci, c’est fini) pour fêter l’arrivée de décembre et la fin de la souffrance. Il y a, et c’est ce que je préfère, l’IRC, le tchat à plusieurs, où 2 fois par heure par périodes de 15 minutes en général, les volontaires se livrent à ce que l’on appelle des WW, des Word Wars, des guerres de mots. Le but est simple. En 15 minutes, il faut écrire un maximum de mot. À la fin du temps, chacun annonce son score et tout le monde se félicite. Là encore, pas de preuves demandées pour être sûr que le nombre annoncé est vrai. C’est juste de la confiance et puis comme on écrit pour soi, mentir sur ses résultats n’apporte rien. L’ambiance sur les canaux de l’IRC est toujours bon enfant et sympathique. Il y a presque toujours quelqu’un dessus.

    Conclusion

    Bref, le concours du NaNoWriMo est quelque chose de difficile à concilier avec la vie professionnelle et familiale mais quand on finit ce travail titanesque (n’ayons pas peur des mots) on se sent fier de soi (et trèèèèèèès fatigué). Pour ma part, il me reste encore un peu de travail pour terminer l’histoire de ce petit roman avant d’entreprendre des choses autrement plus difficiles : la relecture et la correction (grammaticale et des nombreuses erreurs de détails qui se sont immiscées dans l’histoire pendant le premier jet).

    P.S. : Un dernier truc pour aider à finir, prendre des vacances loin de tout, mais avec une connexion internet.