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    260 — [NMN2017] nouvelle n°17 – Ghost & Soul

    Bonne Année tout le monde. À partir de cette semaine, je ne sais pas si je peux continuer le marathon. Peu de temps et je voudrais me concentrer sur mes autres projets. Donc, ça sera une surprise pour vous à chaque semaine. Et pour commencer l’année, une phrase donnée par Juliette A B, qui m’a donné par mal de fil à retordre (la phrase, pas Juliette). J’espère que le résultat vous plaira. Bonne lecture. « Ghost ! Eh p’tite sœur ! Viens donc ! Notre nouvelle amie voudrait enfin parler ! Ceci dit, il était temps, Père commence à s’inquiéter pour la rançon… — Arrête de…

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    248 — [NMN2017] Les Féminazies

    Cette semaine, une nouvelle phrase donnée par Sheldon Lymchat. Cette nouvelle est plus longue que les autres puisqu’elle s’approche des 4000 mots. C’est toujours de la SF, mais de la post-apocalyptique cette fois. J’accepte les insultes et les menaces en commentaires 😉 Un très très gros merci à [quelqu’un qui a préféré rester anonyme] pour sa relecture minutieuse alors qu’elle avait une kick-off de NaNoWriMo à gérer sur les zInternets (oui, cette phrase est complètement crypto-marxiste). « T’as déjà essayé le truc du bout de viande dans le verre de Coca ? Ben, c’est meilleur avec une rondelle de citron. J’espère qu’on…

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    229 — [NMN2017 Amandine] Panne générale

    Elle tourna la clé dans la serrure et pénétra dans l’appartement. Elle sentit immédiatement que quelque chose ne tournait pas rond. Freddy, son pangolin de compagnie, gisait à plat ventre sur le sol de l’entrée, la langue pendante, ses quatre pattes dépassant de sa carapace comme s’il s’était subitement effondré sous son propre poids. Il était parfaitement immobile, statufié sur le sol en béton ciré. Ses griffes étaient sorties et ses écailles métalliques hérissées, et sur son petit museau pointu, ses yeux demeuraient d’un noir mat, absolument inexpressifs. Que s’était-il passé ? D’ordinaire, dès qu’elle poussait la porte de son appartement,…

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    209 — [NMN2017] La vengeance est un plat qui se mange froid

    Une phrase donnée par Mlle Cup of Tea, merci à elle ! Elle était un peu directive, mais c’était amusant. Enjoy 🙂 02h37. Le smartphone à la pomme bipa 2 fois : Francesca relut le message trois fois. Pourquoi avait-il fallu que Kelly écrive ça en toutes lettres ? Francesca s’assit sur le lit. Son premier réflexe avait été de taper une réponse, mais il était risqué de laisser encore plus de traces que ce message plein de culpabilité. Elle préféra appeler Kelly. Il n’y eut même pas de sonneries. L’autre jeune femme décrocha immédiatement. « Allo ? Sa voix était chevrotante, indiquant…

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    208 — [NMN2017] Jehan et la princesse

    Voici la nouvelle de la semaine. La phrase de Sheldon Lymchat (oui, encore une fois) a été choisi par ma comparse Miki. Si elle vous plaît partagez-là, si elle ne vous plaît pas, dites-en du mal sur les réseaux sociaux, on sait jamais, sur un malentendu, comme dirait l’autre. 😀 « Je croyais que vous étiez quelqu’un de bien… mais, en fait, les gens comme vous, ils meurent et ils vont en enfer. » Cette phrase avait claqué presque aussi fort que les mains de Jehan. L’écuyer téméraire écarta lentement les mains tout en essayant de comprendre ce que cette princesse venait…

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    207 — [NMN2017] Les morceaux de chaussettes

    Ça y est, c’est parti. Le nouveau marathon de la nouvelle 2017 est officiellement lancé. On commence par une phrase de Sheldon Lymchat, parce que c’est lui qui m’a motivé à me relancer dans cette expérience et que ça phrase m’a inspiré (enfin, je crois). Comme d’hab’, n’hésitez pas à partager, commenter, dire que vous aimez ou non. Les offrandes sous formes de chocolat et de sushis sont acceptées 😉 Cette nouvelle fait environ 2650 mots. Enjoy ! Pourquoi, quand on enlève nos chaussettes, il nous reste toujours des petits bouts de chaussettes entre les orteils ? La race humaine…

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    133 — Mes lectures : « Spores! »

    Grâce au Ray’s Day, beaucoup d’auteurs ont offert aux lecteurs partie de leurs œuvres. À cette occasion, Olivier Saraja a mis à disposition sa nouvelle Spores! dont voici le résumé (honteusement pompé sur le site de l’auteur). La civilisation s’est effondrée. Pieter et sa fille Enora tentent de survivre dans un monde envahi par une espèce de mousse très invasive, dont les spores représentent un danger mortel. L’irruption d’une femme dans leur vie bouleversera leur quotidien. Vers quel avenir les entraînera-t-elle? Entre drame humain et fable écologiste, Spores! amène le lecteur dans un monde silencieux et oppressant, sis aux limites de la folie humaine.…

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    132 — Aménsie Spatiale – Ray’s Day

    Voici Amnésie Spatiale, ma contribution tardive au Ray’s Day (explications ici), il s’agit d’une nouvelle de science fiction écrite lors du camp nano d’avril dernier. Elle fait envrion 17.000 mots. Comme je ne mets ce texte à disposition que très tard, je le laisserai jusqu’à dimanche soir. Sur le spatioport, Victor se réveille avec la plus grosse gueule de bois de sa vie. Son ordinateur interne affiche « no-data » et il est complètement amnésique. Un cadavre à ses pieds, la police qui frappe à la porte, Victor s’enfuit et va devoir lutter pour trouver des réponses. Il faudra être…

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    127 — Zombies

    Ce matin, en me réveillant, je me sentais bizarre, comme si la veille je m’étais saoulé, alors que non. Mal de tête, yeux lourds et collés. J’ai eu du mal à sortir de mon lit. J’avais l’impression d’être tout engourdi, d’avoir attrapé un mauvais truc mais je ne comprenais ni comment ni quoi. Quand je suis sorti de chez moi j’ai eu l’impression que la lumière n’était pas la même que d’habitude, comme si une chape étrange s’était abattue sur le ciel au-dessus des nuages, mangeant la lumière avant qu’elle ne nous arrive. Impossible de comprendre ce qui n’allait pas,…

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    126 — Madame Peacock

    Phrase donnée par Alice Saturne Derrière le rideau, une main s’agitait. Madame Peacock n’en vit pas rien et continua son trajet vers le marché, pas le moins du monde intéressée, contrairement à l’habitude. Elle avait mal dormi et n’était pas d’humeur à exercer cette passion qui l’occupait depuis toujours, et plus particulièrement depuis sa retraite : espionner ses voisins. En voyant cette main, agitant étrangement ce rideau, peut-être aurait-elle dû comprendre que quelque chose n’allait pas chez mademoiselle Huston. Madame Peacock n’aimait pas beaucoup — comprendre « pas du tout » — mademoiselle Huston. Elles étaient l’exact opposée l’une de…