Une nouvelle fois, c’est [K`] qui m’est venue en aide pour la phrase de la semaine, toujours pas inspiré par celles qu’il reste. Merci à leurs propriétaires de ne pas s’offusquer. 🙂 L’enfant se tenait immobile, seul face à la scène vide. Les bougies avaient été éteintes. Les acteurs et les spectateurs avaient quitté les lieux depuis longtemps. Même le balayeur avait fini par partir. Il arrivait trop tard. Le Théâtre du Cygne. Ce n’était pas un grand théâtre. Il n’était même pas de bonne facture, des rais de lumière lunaire traversaient en tous sens. Il devait pleuvoir à l’intérieur…