La nouvelle est tombée la semaine dernière et elle est toujours difficile à avaler : Walrus éditions ferme.
Si vous suivez le blog depuis au moins 8 mois, vous savez que c’est chez eux qu’à été publiée ma nouvelle Les petits enfants, dans le cadre de leur labo.
Si le de nom de Walrus ne vous dit rien, il s’agit d’une (petite) maison d’édition innovante, principalement numérique, spécialisée dans le Pulp, la littérature de mauvais genre : SF, fantastique, horreur, WTF (oui, c’est un style à part entière qui mélange un peu tout).
Leurs titres les plus représentatifs sont sûrement Jésus contre Hitler ou Zoulag. Ils ont aux catalogues des romans, des nouvelles, des livres dont vous êtes le héros, plein de bonnes choses.
Bref, si vous êtes curieuses ou curieux, je vous conseille d’aller voir leur catalogue ici : www.walrus-books.com/
En revanche, NE TARDEZ PAS !
En effet, la maison fermant, vous ne pourrez acheter les titres que jusqu’à samedi. Après, ce sera fini.
Il en sera de même pour les textes du labo, alors n’hésitez pas à les découvrir avant samedi (en plus ils sont gratuit).
Profitez-en pour découvrir des auteurs talentueux des et autoresses talentueuses. (et je ne parle pas forcément de moi, là 😉 )
Même si je suis triste de savoir Walrus fermer, j’aime à penser que ce ne sont pas des textes qui meurent, mais des idées qui s’essèment pour mieux grandir et se répandre dans le reste du monde littéraire.
(article écrit en tant que passager dans une camionnette, en plein embouteillage, merci pour votre indulgence quant aux fautes et problèmes de style)
Mauvaise nouvelle. Je n’ai jamais osé leur envoyer quoi que ce soit. Syndrôme de l’imposteur ? Maintenant, c’est regrets et compagnie.
Il ne faut pas avoir de regrets. Ce qui est fait est fait (ou pas fait n’est pas fait).
Je reste confiant pour l’avenir et ce que cette fermeture pourra engendrer.
Je suis sûr que tu trouveras une maison à qui présenter tes textes 🙂
Les regrets ne sont pas pour moi, mais pour Walrus. J’aime bien leur personnalité, et celle des textes qu’ils ont publiés.
Quant-à mes textes, et bien, oui, il y aura des occasions.